Сейду Думбия

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Основная информация
Дата рождения: 31 Декабря 1987
Пол: Мужской
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Город: Yamoussoukro
VK: doumbia_fan
Личные интересы
Деятельность: Voici mon histoire..
Интересы: Le début Des enfants pieds nus et un ballon fait de papier et de chiffons. Les sourires et les cris enjoués de ces gosses tranchent avec leur misère. Parmi ces gamins du quartier d’Adjamé, à Abidjan, Seydou Doumbia
Любимые фильмы: « Ces souvenirs d’enfance m’accompagnent tous les jours. Je ne vais jamais oublier ces moments, ce sont mes racines. Je sais d’où je viens et je ne veux surtout pas me couper de ce monde-là. Ce serait renier mon identité profonde. »
Любимые телешоу: Aujourd’hui qu’il est devenu une véritable vedette dans son pays, Seydou revient souvent dans « son » quartier, au cœur d’Abidjan.
Любимые книги: « Ce qui a changé, ce sont les regards des autres. Moi, je les vois comme avant. Je représente quelque chose de spécial pour eux, mais ça ne me monte pas du tout à la tête. Je reste le même, si ce n’est qu’aujourd’hui, je peux aider ceux qui sont dans le besoin. J’écoute, je fais avec mes moyens. » Le petit Seydou est devenu grand, mais le chemin fut pour le moins tortueux. Il aurait pu se perdre en route tant de fois que son irrésistible ascension ressemble presque à un miracle.
Любимые игры: « C’est vrai que j’ai eu une enfance très difficile », reconnaît Seydou, pudiquement. Il n’aime pas trop parler de tout ça. Tout juste glisse-t-il qu’il ne mangeait pas toujours à sa faim. « Pour me nourrir, je vendais des mouchoirs dans la rue.» C’était ça ou rien. En Afrique, les parents attendent de leurs enfants qu’ils ramènent de l’argent à la maison pour tout le monde. C’est ainsi. Paradoxalement, c’est cette précarité qui lui permettra d’écrire les premières pages du livre de son incroyable histoire. A 12 ans, il tape le ballon dans un petit club de son quartier, le Conservatoire Inter FC. Et pour (sur)vivre, il vend des mouchoirs, en cachette, sans en parler à quiconque. Un jour, une voix familière le surprend. C’est celle d’Olivier Koutoua, le président de ce petit club où Seydou évolue. « Je me promenais dans le quartier d’affaires d’Abidjan et là, à un carrefour, j’ai vu ce gamin. C’était Seydou. Je l’attrape, je lui dis qu’il devrait être à l’école. Et là, il me montre ces mouchoirs en papier. Je comprends cette détresse et décide d’un coup d’un seul de le prendre sous mon aile. »
О себе: Le début Des enfants pieds nus et un ballon fait de papier et de chiffons. Les sourires et les cris enjoués de ces gosses tranchent avec leur misère. Parmi ces gamins du quartier d’Adjamé, à Abidjan, Seydou Doumbia. Qui pourrait alors se douter que quinze ans plus loin, le petit môme porterait le maillot orange de cette équipe nationale de Côte d’Ivoire vénérée par tout un pays ? Ce maillot des Eléphants qui fait oublier à tout un peuple la pauvreté et la misère. « Ces souvenirs d’enfance m’accompagnent tous les jours. Je ne vais jamais oublier ces moments, ce sont mes racines. Je sais d’où je viens et je ne veux surtout pas me couper de ce monde-là. Ce serait renier mon identité profonde. » Aujourd’hui qu’il est devenu une véritable vedette dans son pays, Seydou revient souvent dans « son » quartier, au cœur d’Abidjan. « Ce qui a changé, ce sont les regards des autres. Moi, je les vois comme avant. Je représente quelque chose de spécial pour eux, mais ça ne me monte pas du tout à la tête. Je reste le même, si ce n’est qu’aujourd’hui, je peux aider ceux qui sont dans le besoin. J’écoute, je fais avec mes moyens. » Le petit Seydou est devenu grand, mais le chemin fut pour le moins tortueux. Il aurait pu se perdre en route tant de fois que son irrésistible ascension ressemble presque à un miracle. « C’est vrai que j’ai eu une enfance très difficile », reconnaît Seydou, pudiquement. Il n’aime pas trop parler de tout ça. Tout juste glisse-t-il qu’il ne mangeait pas toujours à sa faim. « Pour me nourrir, je vendais des mouchoirs dans la rue.» C’était ça ou rien. En Afrique, les parents attendent de leurs enfants qu’ils ramènent de l’argent à la maison pour tout le monde. C’est ainsi. Paradoxalement, c’est cette précarité qui lui permettra d’écrire les premières pages du livre de son incroyable histoire. A 12 ans, il tape le ballon dans un petit club de son quartier, le Conservatoire Inter FC. Et pour (sur)vivre, il vend des mouchoirs, en cachette, sans en parler à quiconque. Un jour, une voix familière le surprend. C’est celle d’Olivier Koutoua, le président de ce petit club où Seydou évolue. « Je me promenais dans le quartier d’affaires d’Abidjan et là, à un carrefour, j’ai vu ce gamin. C’était Seydou. Je l’attrape, je lui dis qu’il devrait être à l’école. Et là, il me montre ces mouchoirs en papier. Je comprends cette détresse et décide d’un coup d’un seul de le prendre sous mon aile. » Le président Koutoua pose alors un regard attentif sur Seydou et veille à ce qu’il ne manque de rien. Les liens se tissent peu à peu, jusqu’à ce Noël où Seydou, invité dans la famille Koutoua avec quelques autres enfants de son club, arrive avec un cadeau et une carte écrite à la main. « Nous n’avons pas grand-chose à vous offrir, vous êtes comme notre père. » Le président, touché par cette attention, se rapproche encore plus du petit Seydou. « Un jour, j’ai franchi le cap. Il est venu habiter à la maison et on a commencé alors à avoir une relation quasi père-fils. » Mais le président n’oublie pas que Seydou est aussi un jeune footballeur pétri de talent. « On l’a fait travailler comme un forcené, se souvient-il. Il a des qualités naturelles de vitesse mais on lui a appris, à force d’exercices, de vidéos et d’entraînements spécifiques, à devenir un buteur. Il en a bavé mais le résultat est là. » Avec les moins de 15 ans, il marque but sur but. A 16 ans, sa taille ne lui permet pas encore de s’imposer en haut alors il
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Le président Koutoua pose alors un regard attentif sur Seydou et veille à ce qu’il ne manque de rien. Les liens se tissent peu à peu, jusqu’à ce Noël où Seydou, invité dans la famille Koutoua avec quelques autres enfants de son club, arrive avec un cadeau et une carte écrite à la main. « Nous n’avons pas grand-chose à vous offrir, vous êtes comme notre père. » Le président, touché par cette attention, se rapproche encore plus du petit Seydou. « Un jour, j’ai franchi le cap. Il est venu habiter à la maison et on a commencé alors à avoir une relation quasi père-fils. » Mais le président n’oublie pas que Seydou est aussi un jeune footballeur pétri de talent. « On l’a fait travailler comme un forcené, se souvient-il. Il a des qualités naturelles de vitesse mais on lui a appris, à force d’exercices, de vidéos et d’entraînements spécifiques, à devenir un buteur. Il en a bavé mais le résultat est là. » Avec les moins de 15 ans, il marque but sur but. A 16 ans, sa taille ne lui permet pas encore de s’imposer en haut alors il rejoint l’Académie Jean-Marc Guillou.

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